Avis aux amateurs de vrais polars, voici un roman qui décoiffe. Dans la peau de Léo Granetti, c'est l'histoire d'un homme ordinaire, Paul Tourvel, modeste gardien de prison qui a le malheur de croiser la route de Léo Granetti, ennemi public numéro 1 (avant que Mesrine ne prenne le relais). Nous sommes dans les années 50, période où la peine de mort est bien présente dans les esprits, surtout lorsqu'on abat de sang froid un couple de bijoutiers sans histoire.
L'histoire prend aux tripes. Entre Tarantino et Giovanni dont Jean-Luc Lourenço s'inspire, on ouvre la première page pour se retrouver aspirer dans l'histoire à ne plus s'arrêter. "Un vrai bon polar", comme le cite déjà la critique. Avec un sens du détail qui en dit long sur sa passion de l'écrit, cet amoureux des mots, des films policiers et du spectacle, se dévoile aussi un inconditionnel de Maurice Leblanc, créateur du célèbre gentleman-cambrioleur, Arsène Lupin, dont il a écrit une aventure originale «Deus ex Machina».
Avec sous le bras sa nouvelle devenue polar, il croise la route de l'éditeur carmausin Yucca Editions qui décide de publier son livre. Dans la peau de Léo Granetti est né et disponible depuis le 7 novembre dans toutes les librairies. (source : Carmaux-actu)